L'Avesnois

ses villes, ses villages
Blason de Féron
Féron
Habitants : Féronais, Féronaises
Code postal : 59610
Nb d'habitants en 2017 : 567
Superficie : 13,39 km2

Mairie de Féron : 4, rue de Sains

Horaires d'ouverture :
Lundi et Mardi : 09h00 à 12h00 et 14h00 à 16h30
Jeudi : de 09h00 à 12h00 et de 14h00 à 19h00
( Permanence du maire de 17h à 19h )
Vendredi : de 09h00 à 12h00 et de 14h00 à 16h30

Tél : 03 27 60 10 46
Fax : 03 27 60 67 88

Mail : mairiedeferon@wanadoo.fr

Site des Féron'Arts : www.feronarts.com/

Localisation sur carte du patrimoine de Féron : Ici

Féron, le village, Histoire et patrimoine.

Source Gallica, Bulletin de la Commission historique du département du Nord - 1866, et annuaire statistique du département du Nord - 1837 (textes numérisés)
Féron, noms anciens : Ferwon, 1140, Cart. de l'abb. de Liessies. - Ferwon, 1167, Bulle du pape Alexandre III. - Ferron, 1167, Cart. de l'abb. de Liessies. - Féron, 1186, J. de G., ann. du Hain. XII, 339. - Feron, 1247, Cart. de l'abb. de Liessies. - Fiéron, 1323, 3e Cart. du Hainaut. - Féron, Ferron, commencement du XVe siècle, tarif des droits de Winage. - Le Féron. - Le Ferron, doc. divers.
Monuments : Anciennes usines à fer. Restes d'une redoute construite par le comte de Mansfeld au XVIe siècle et détruite au XVIIe.
Eglise dont la tour, percée de meurtrières, porte la date de 1614.
Château du Pont-de-Sains ne conservant des constructions élevées dans le XVIIe siècle que des souterrains et la porte d'entrée, flanquée de deux petites tours rondes surmontées de toits aigus.
Ce château, qui appartient à M. le prince de Talleyrand-Périgord, est construit près d'un vaste étang, dans un vallon, au milieu d'une masse considérable de bois. Ses jardins offrent d'agréables promenades et ses appartemens méritent d'être visités.
Fontaine minérale ferrugineuse, dit Fontaine-Rouge.
Faits historiques : Thierry, comte d'Avesnes, ayant, en 1095, fait reconstruire les bâtiments de l'abbaye de Liessies, donna aux moines qu'il avait établis dans ce monastère la terre de Féron et divers autres biens.
En 1186, Féron est une paroisse du décanat d'Avesnes à la collation de l'abbaye de Liessies.
Compris, en 1212, dans la baronnie d'Etroeungt, éclissée de la terre d'Avesnes, par Gauthier II, en faveur de Bouchard, son frère cadet.
Charte consacrant les libertés communales, octroyée aux habitants, en 1248, par Jean 1er d'Avesnes et Alix, sa femme.
A suivi depuis lors les destinées de la terre d'Etroeungt.
L'église de Féron fut incendiée, en 1636, par l'effet des évènemens de la guerre qui avait lieu à cette époque entre la France et l'Espagne.
Les Espagnols, ayant échoué devant Calais, en 1657, revinrent sur leurs pas. Arrivés au Câtelet le 27 juillet, ils le quittèrent le lendemain pour aller camper à Englancourt ; ils vinrent de là à Féron le 8 août et se retirèrent le 10 près de Mariembourg.
Avant la révolution, Féron était régi par la coutume du Hainaut.
Depuis 1684, il faisait partie du gouvernement militaire d'Avesnes; il ressortissait au baillage et à la subdélégation de la même ville.
En 1790, il fut compris dans le canton d'Etroeungt et, en l'an X, incorporé dans celui de Trélon.
La population de la commune de Féron est de 639 habitans, dont 85 indigens secourus à domicile et 10 mendians.
Sa surface territoriale consiste en 1325 hectares ainsi divisés : 333 en terres labourables, 442 en prés, 10 en terrains plantés, 488 en bois, 6 en étangs et terrains incultes, 5 en superficie de propriétés bâties, 37 en routes, chemins, et 4 en rivières et ruisseaux.
Sa culture ordinaire est le blé, l'épeautre, le seigle, l'avoine et le trèfle. Sa culture principale est l'épeautre et l'avoine.
Sa principale industrie est l'agriculture.
Les seuls établissemens existant dans la commune de Féron sont : une brasserie, un moulin à blé et une fabrique de bonneterie.
Hameaux et lieux dits : Le Château du Pont-de-Sains. Le Buisson Barbet. La Masure. Le Trou de Féron. La Rue Heureuse. Les Bruyères. La Cense. La Frasnoy. La Fosse Madame. St.- Nicolas. Bellevue. La Fontaine Rouge. Les Bois du Grand et du Petit Fresseau.

Eglise de Féron
Le chevet.

Adoration des mages, église de Féron

L'Adoration des Mages, toile restaurée en mars 1995. Il s'agit d'une copie inversée de la gravure que réalisa L. Vorsterman. L'original est conservé à la collégiale Saint-Jean de Malines (Belgique).

Eglise de Féron, les fonts baptismaux.
Les fonts baptismaux

Eglise de Féron, st Martin.
Saint Martin.

Eglise de Féron, tableau du retable.
Tableau du retable, l'Ascension de Notre Seigneur.
Restauré en 2010.
Eglise de Féron, vierge et l'enfant.
La Vierge et l'Enfant.

Monument aux morts de Féron
Monument aux Morts de Féron.

La grange Cabaret à Féron
La Grange Cabaret (Concerts, théâtre, expositions etc.)

Les Feron'arts à Féron
Spectacle de rue lors des Féron'Arts

La ferme Daublain ou « la grosse ferme » à Féron
La ferme Daublain ou « la grosse ferme », 1722.

Au XIVe siècle, les moines de l’abbaye de Liessies étaient propriétaires de nombreux autels de la région, dont celui de Féron. Pour entretenir leurs biens, églises paroissiales, moulins à eau, granges, forêts, herbages et cultures, les religieux créèrent un impôt ecclésiastique appelé la dîme. Les taxes étaient perçues sur les fruits des arbres, les légumes du jardin, la laine des moutons, le lait des vaches, la récolte des champs, le bois des forêts, etc. Un régisseur civil était nommé et habitait dans la dite grosse ferme. Sur une clé de voûte est gravée 1722, date de la reconstruction.


Féron sur les albums de Croÿ.
Féron sur les albums de Croÿ. (1597)
Voir en grand format
Eglise de Féron
L'église Saint Martin à Féron.

Le clocher de l’église fortifiée est un énorme donjon carré percé de meurtrières. Sur le haut de la tour, qui était crénelée, des tirants de fer datent de 1614. Un escalier étroit et hélicoïdal de cinquante quatre marches difformes permet d’atteindre l’emplacement des quatre étages habitables. Une association locale du patrimoine religieux a financé de nombreux travaux dont la restauration et la protection des dix vitraux ainsi que la réfection du calvaire situé dans le cimetière voisin. A l’intérieur, une peinture représente l’Adoration des mages, copie de l’Ecole de Rubbens. Au sol, des pierres tombales rappellent la présence de maîtres de forge du Pont-de-Sains. Les églises de Féron, Fontaine au Bois et Floyon sont les 3 seules églises fortifiées habitables de la Thiérache du Nord. Sur le mur de l’église, une pierre tombale du vieux cimetière nous rappelle le décès de Dom Lambert Bécart, un des quatre derniers religieux de l’abbaye de Liessies qui termina sa vie de curé à Féron. Nicolas Joseph Bécart naquit à Bousies le 15 janvier 1764. Il n’était que diacre en 1790 et on l’appelait Frère Lambert. On le trouve, après le Concordat, vicaire à Poix-du-Nord en 1806, à Landrecies en 1810, curé de Taisnière-en-Thiérache en 1817 puis de Féron en 1822. Il mourut le 23 décembre 1829.

Eglise de Féron, banc de communion.
Un des éléments du banc de communion

Eglise de Féron, détail du retable.
Détail du retable.

Eglise de Féron, la nef.
La nef.

Eglise de Féron, grotte de Lourdes.


Eglise de Féron, vitrail.
Un des vitraux de l'église.

Eglise de Féron, saint.


Mairie de Féron
La mairie de Féron depuis 1993
et la Maison des Associations depuis 2001.
Le violoniste à Féron
Le Violoniste

Cette statue fut érigée en 1984 sur la place du village pour mémoriser le 4e célèbre festival des Féronades. De 1978 à 1988, les week-ends du 15 août des années paires, dans les granges ou étables, les organisateurs réunissaient des peintres et artisans au travail. Dans l’église, sur la rue ou encore dans un cabaret se rassemblaient des musiciens pour d’inoubliables concerts. Ce violoniste de 970 kg de bronze est la réalisation de l’artiste sculpteur Yves Lohé. Depuis 1996, une autre équipe organisatrice nommée Les Féron-Arts, continue la tradition estivale.



Le moulin à Féron
Le Moulin

En 1097, les moines de Liessies étaient propriétaires à Féron du moulin à farine, situé derrière l’église. Sur un linteau de pierre est gravé 1601, date d’une restauration. En 1806, le maire autorisa monsieur Mandron à construire un bâtiment le long du vieux cimetière.

Le buisson Barbet à Féron
Le Buisson Barbet
Dans ce hameau éloigné du village, on peut encore voir des linteaux de pierre des années 1714, 1764 et 1772.
La Ferme du Pont de Sains à Féron.
La Ferme du Pont de Sains.

Le Château démoli était situé sur Sains du Nord, alors que les communs rehaussés en 1828 sont sur le territoire de Féron. Le château de Charles Talleyrand-Périgord fut démoli vers 1905. Après son décès en 1838, sa nièce la duchesse de Dino hérite du domaine, et le transmet à sa fille, devenue par mariage la marquise de Castellane. En 1925, Gaston Dubois-Waast, brasseur à Denain, achète la propriété. En 1941, Marcelle de Peretti, son épouse, est la dernière propriétaire privée. Depuis 1975, la Maison des Enfants de Trélon réalise d’énormes travaux pour un Centre d’Aide par le Travail, connu sous le nom de la Ferme du Pont-de-Sains.

La ferme du Pont de Sains à Féron
Autre vue de la Ferme du Pont-de-Sains.
La Ferme du Pont de Sains à Féron
La Ferme du Pont de Sains au début du XXème siècle.


Fontaine rouge à Féron.
La Fontaine Rouge.

La Fontaine rouge à Féron. La couleur de cette eau jaunâtre a son histoire. Elle fut analysée dès le XVIIIe siècle par Raullin, médecin du roi, puis en 1810 par Tordeux, apothicaire à Avesnes. Il fut reconnu que cette eau possédait toutes les propriétés des Eaux de Spa et de celles du Mont-Dore en Auvergne, mais ses particules ferrugineuses qu’elle contient et son faible débit la rendent difficilement exploitable.
En raison de la qualité de ses eaux, une station thermale devait être créée à Féron. Deux architectes Jean Lafitte et Louis Cordonnier, en 1904-1905, avaient un projet de construction d'un hôtel-casino au lieu-dit " La Fontaine Rouge ", dénommé Royale-Féron. Un édifice de 6 étages, une façade de 80m de long et de 20m de profondeur, ainsi qu'une salle de spectacle sur les terrains de Messieurs Divry et Pourbaix. Pour mener a bien l'opération, il fallait réunir la somme de 1 200 000 francs or de l’époque, chose faite aux deux tiers sous forme de souscription. Malheureusement, ce projet fut abandonné au profit de Saint Amand les Eaux.
À la fin des années 1980 et au début des années 1990, des Américains se sont aussi intéressés à l'eau de La Fontaine Rouge puis désistés.

Gallica : Notice historique sur la terre seigneuriale et sur les seigneurs d'Etroeungt, par Lebeau Isidore... mise dans un nouvel ordre et considérablement augmentée, par Michaux aîné - 1859. pages 32, 33 et 34
La Fontaine rouge.
A l'extrémité sud du territoire de Féron, se trouve une fontaine d'eau minérale qui a reçu des habitants le nom de Fontaine rouge. On lui attribuait autrefois plus d'efficacité contre les obstructions qu'aux eaux de Spa et qu'aux boues de Sainl-Amand; mais, depuis, elle a perdu dans l'opinion beaucoup de sa vertu.
L'eau qui en découle et la boue qui l'environne ont été analysées plusieurs fois par des médecins et des chimistes. Elles l'ont été, vers le milieu du siècle dernier, sous les yeux du docteur Raullin, médecin du roi et inspecteur des eaux minérales du Haînaut, et, il y a quelques années, par M.Aug. Tordeux, d'Avesnes, dont le rapport est inséré dans les Annales de Chimie, tome LXXII, no 215.
L'eau, en sortant de terre, soulève un gravier fin. Elle est limpide, inodore, et a une saveur un peu ferrugineuse. A commencer à un pied et demi de la source, tous les corps qu'elle mouille sont recouverts d'un dépôt ocreux, tenu d'abord en dissolution par l'acide carbonique, qui, se dégageant quand il arrive à la surface de la terre, laisse déposer des matières qu'il tenait dissoutes. Cette eau rougit un peu la teinture de tournesol; elle trouble l'eau de chaux; elle précipite par le muriate de baryte, par le nitrate d'argent, par l'oxalate acide de potasse, par le sous-carbonate de potasse. Par l'infusion alcoolique de noix de galle, elle prend une légère teinte violette, et finit par se noircir (1).
Cette fontaine sort du milieu d'une prairie isolée, au bas d'une petite hauteur et d'un trou central perpendiculaire extrêmement profond, mais envasé jusqu'à la superficie de la prairie. La surface de ce trou est de trois pieds de longueur sur un pied et demi de largeur, de figure irrégulière. L'eau, qui est d'un goût ferrugineux, est agréable à boire, et sans odeur.
Quoique l'usage de cette eau minérale fût en vogue depuis de longues années, et qu'on en vînt chercher de l'intérieur de la France, cette fontaine a été négligée jusqu'en 1769. M. Faussabry. la fit arranger pour en rendre l'accès plus facile. Ce subdélégué présenta plusieurs projets à MM. les intendants et à la cour. Mais il fallait former des établissements qui eussent pu faire tomber le crédit des eaux et boues de St-Amand, où il y en a de tout faits; d'autant plus que les médecins.... ont prouvé la supériorité de celle-ci sur celles de St-Amand.
Il résulte de plusieurs expériences que cette fontaine minérale de Féron a beaucoup de propriétés semblables à celles du Mont-d'Or en Auvergne, et qu'elle a la même analogie que les eaux de Spa, quoique dans un degré de vertu supérieur.(2).
(1) E.-J.-B. Bouillon, Essai sur les eaux minérales naturelles et artificielles, page 208. (A. J. M.)
(2) Mémoire manuscrit du XVIIIe siècle.
S'il ne nous appartient pas d'établir de comparaison entre les eaux de Spa, les boues de St-Amand, l'eau et la boue de la Fontaine-Rouge, les révélations des maîtres de la science nous autorisent du moins à croire que, avec les mêmes commodités, les mêmes agréments, le même régime, et, si l'on veut, les mêmes prestiges, elles auraient toutes la même efficacité.
Depuis quelques années, l'aspect de la Fontaine-Rouge a changé. M. Moutier, propriétaire de la pâture dans laquelle sourd la source, l'a fait renfermer dans un massif de maçonnerie, d'où l'eau est jetée, par une gargouille, dans un bassin circulaire en belles pierres bleues.


Le bocage aux alentours de Féron.

Oratoire à Féron.
Oratoire de 1775 édifié par Jacques Antoine
dédié à ND de Walcourt.
Restauré en 2014 - 2015 par l'APECEF,
Rue de Glageon. N50.040895 E4.033401
Oratoire à Féron.
Oratoire érigé par Jules Squelart vers 1958.
dédié à St Antoine de Padoue
Rue Heureuse. N50.045600 E4.030240
Oratoire à Féron.
Oratoire récent (2015) dédié à Ste Rita,
l'ancien était en brique.
Rue Heureuse. N50.045376 E4.029509
Oratoire à Féron.
La Chapelle Saint Pierre érigée après 1643 par Nicolas Lejeune en souvenir de son fils décédé. Au-dessus de la niche, est gravé : "ICY PIERRE LEJEVNE FILS A NICOLAS A ESTE OCCIS PAR L’ENNEMI LE 29 AVRIL 1643- PRIE DIEV POVR SON AME ".
Rue d'Avesnes, au lieu-dit Le Mauvinage.
N50.048755 E4.017697
Oratoire à Féron.
Oratoire érigé en 1881 par Adelphine Payen et Antoine Césarine Vve Hosselet et dédié à St Michel, St Joseph,
St Camille et N.D de Lourdes.
Rue de Fourmies. N50.041360 E4.026735
Oratoire à Féron.
Oratoire de 1727
"Requiescant in pace" et "Priez pour nous"
Restauré en 2014 - 2015 par l'APECEF
rue du Buisson Barbet. N50.045320 E3.988565
Féron, Oratoire N.D de Bon Secours (1842).
Oratoire N.D de Bon Secours érigé en 1842
par Cyprien Devorgny notaire à Wignehies.
Restauré en 2014 - 2015 par l'Association Patrimoine Église Chapelles en Féronnais (APECEF)
Voie Communale des Charmilles.
N50.052238 E4.023962
Oratoire à Féron.
Petite grotte de Lourdes, rue du Buisson Barbet.
N50.045601 E3.990893
Calvaire à Féron
Calvaire, rue de Rocquigny.

Calvaire au cimetière de Féron.
Calvaire au cimetière de Féron.
Oratoire à Féron.
Oratoire édifié en 1839 par Mr Jourdain et dédié à
ND de la Délivrance et St Jacques.
Restauré en 2014 - 2015 par l'APECEF
Rue de Sains. N50.054180 E4.024098
Oratoire à Féron.
Oratoire St Roch,
Restauré en 2014 - 2015 par l'APECEF
Près de la ferme du Pont de Sains.
N50.063685 E4.025980
Oratoire à Féron.
Chapelle St Léonard et St Gorgon.
Rue de Rocquigny / Meubias. N50.037900 E4.017009
Oratoire à Féron.
Oratoire érigé en 1851 par le Sieur Poulet.
dédié à St Sylvestre et St Antoine de Padoue.
Rue du Buisson Barbet. N50.042935 E3.997823
Oratoire à Féron.
Oratoire de 1878 dédié à Ste Anne.
Restauré en 2014 - 2015 par l'APECEF
Rue du Buisson Barbet. N50.041399 E4.018595
Oratoire à Féron.
Oratoire de 1876 édifiée par Mme Moutier,
dédié à St Martin, St Pierre et St Joseph.
Restauré en 2014 - 2015 par l'APECEF
Rue de Rocquigny. N50.041771 E4.020702
Oratoire à Féron.
Oratoire érigé en 1777 dédié à St Joseph. Tombé en ruine, il fut reconstruit en 1827 par Joseph Colinet.
Restauré en 2014 - 2015 par l'APECEF
Rue du Buisson Barbet. N50.041452 E4.013378
Féron, Oratoire N.D de Bon Secours (1839).
Oratoire N.D de Bon Secours (1839).
Restauré en 2014 - 2015 par l'APECEF
Rue de Rocquigny. N50.041750 E4.020593
Oratoire à Féron.
Oratoire restauré en 2014 dédié à Ste Claire,
rue de Rocquigny.
N50.041409 E4.024823
Calvaire à Féron
Calvaire au cimetière de l'église.
Financé par Mrs Dieudonné et Léopold Durieux
Féron, le calvaire et ses deux oratoires.
Le calvaire et les deux oratoires de la route de Rocquigny.

Vue du village de Féron
Féron vu de la route de Rocquigny.

La place de Féron
La place de Féron au début du XXème siècle.

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Source : Féron patrimoine.
"Albums de Croÿ, Tome II, Propriétés des Croÿ, Édition du Crédit Communal de Belgique"

Céline Gadeyne, Claudie Péan, Gérard Lemaire, Marjorie Dewinter et Christian Pavot
ont contribué à la réalisation de cette page.

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Page de présentation Répertoire des 151 communes Les petits + de l'Avesnois Formulaire de contact