Assevent Audignies Avesnelles Avesnes sur Helpe Baives Bavay |
Beaufort Bellignies Beugnies Bas Lieu Bousies Boussois (2) |
Avesnois, les 58 kiosques témoins de notre Histoire.Des kiosques à musique ou à danser pour faire la fête. |
||
Bousignies sur Roc Cartignies Colleret Cousolre Dimechaux Dourlers (2) Eppe Sauvage Felleries Flaumont Waudrechies Floursies Floyon (2) Fontaine au Bois Fourmies Grand Fayt Gussignies Hestrud Le Favril |
Le Quesnoy Leval Lez Fontaine Marbaix Maroilles Marpent (2) Maubeuge (2) Monceau Saint Waast Neuf Mesnil Ohain Petit Fayt Prisches Sains du Nord |
Saint Aubin Saint Hilaire sur Helpe Saint Rémy Chaussée Sars Poteries Solre le Château (2) Trélon Vieux Reng Villers Sire Nicole Wattignies la Victoire Wignehies |
Les kiosques de l'Avesnois font partie de notre Histoire et sont les témoins du goût des habitants pour la musique le chant et la danse à une époque où la fête se faisait essentiellement en plein air. Ces kiosques, qu'ils soient "à musique", ou "à danser" sont le plus souvent installés sur la place communale ou dans les squares, lieux de rencontre et de partage.
- Les kiosques à musique, depuis la seconde moitié du XIXè siècle, permettaient aux villageois installés tout autour, d'écouter de la musique en famille, le kiosque étant occupé par les musiciens, souvent l'harmonie locale et il n'y a pas de doute sur le fait que ces kiosques soient étroitement liés à la démocratisation de la musique. La maîtrise technique dans le domaine de la construction métallique notamment avec la fonte moulée pour les poteaux et les consoles, le fer forgé pour les garde-corps, le zinc pour le toit et l'utilisation judicieuse du bois, permettaient de donner à ces kiosques un aspect esthétique remarquable. Ils ont le plus souvent six, huit ou dix côtés. L'assise en maçonnerie est surélevée, quelques marches permettant d'y accéder, le plafond en bois, faisant lui office de caisse de résonance.
- Les kiosques à danser étaient utilisés lors des bals populaires. Ils ont une plateforme placée en hauteur de façon à ce que danseurs et musiciens puissent se voir mutuellement. En général plus petits que les kiosques à musique, ils sont de forme variable, ronde, rectangulaire ou polygonale, avec soit un pied central soit six ou huit pieds, et ne possèdent pas d'échelle fixe. L'Histoire dit qu'elle était retirée lorsque les musiciens étaient installés, obligeant ceux-ci à jouer jusqu'à ce que les derniers danseurs aient quitté la piste.
- Dès le milieu du XXème siècle, le développement de l'industrie du disque et les moyens et lieux de diffusion de la musique ayant changé, l'utilisation festive du kiosque a lentement disparu et se résume aujourd'hui à quelques concerts donnés lors des fêtes locales (ducasses). Des manifestations comme la Ronde des kiosques, randonnée automobile alliant la découverte de l'Avesnois et le plaisir de conduire un véhicule ancien et des circuits cyclo-touristiques, permettent également de découvrir les plus originaux d'entre eux.
- Dans la première moitié du XXème siècle, l'Avesnois comptait une centaine de kiosques. Il n'en reste aujourd'hui qu'une cinquantaine, et si la plupart sont plus que centenaires, il faut noter que la tradition du kiosque se perpétue tout de même avec des constructions très récentes comme à Assevent. Les kiosques sont donc bien ancrés dans la mémoire collective des habitants de l'Avesnois en tant qu'éléments de notre patrimoine festif et il est donc très important de les préserver.
Remerciements aux mairies et associations de sauvegarde du patrimoine qui ont contribué à la réalisation de cette page.
Avesnelles avait un kiosque démontable en bois avant 1789. Celui qui figure ci-dessous sur cette carte postale ancienne date de 1873, il fut installé avec l’aide financière de la commune autour du tilleul pour l’association "des adolescents et des célibataires". A l'époque, seuls le soubassement et la balustrade ont été édifiés. Le tilleul fut abattu en 1910 et l’entreprise Hourdeau fut chargée de construire le nouveau kiosque, toujours en place aujourd'hui. Il est de forme hexagonale, les colonnes sont en fonte et les garde-corps en fer forgé.
Le kiosque à danser circulaire d'Avesnes sur Helpe, a été édifié en 1890. Des lampadaires à gaz sont alors prévus pour les bals de nuit. Le kiosque construit sur un pied central est constitué d'une charpente métallique et d'une toiture en zinc, le plancher de la plateforme est en bois.
Le kiosque a été restauré en 2012 dans le cadre du projet du PNR Avesnois de valorisation et de sauvegarde de notre patrimoine. Les travaux financés par le Fonds national en faveur de l'insertion par le patrimoine des publics en difficulté, ont été réalisés par des personnes en réinsertion et des compagnons du Centre de Formation des Compagnons de Jeumont. Des ateliers ont été mis en places pour faire redécouvrir, promouvoir et mettre en valeur des métiers aux savoir-faire particuliers.
Nature des travaux : Réfection de la couverture en zinc, du support en bois et de la charpente métallique.
Un document d’archives de la mairie situe la construction du premier kiosque aux alentours de 1900. Il reposait sur huit pieds. Son mauvais état posant des problèmes de sécurité et sa restauration coûtant plus cher que la fabrication d'un neuf, les élus de Bas Lieu décidèrent donc de remplacer le kiosque centenaire par une nouvelle réalisation.
C'est une entreprise de Leval, la Ferronnerie Avesnoise qui à obtenu le marché fin 2015 pour un montant de 8760 €. Ce nouveau kiosque est en fer forgé pour la structure, en aluminium pour la plateforme, et ne comporte plus que quatre pieds dans un souci d’esthétisme.
Il a été inauguré le 21 juin 2016, jour de la fête de la musique. L’éclairage de la place a également été revu afin de le mettre en valeur.
Sur la carte postale on peut voir l'ancien kiosque à musique qui se trouvait sur la place de l'Hôtel de Ville au pied de la colonne Brunehaut.
Pendant la Première Guerre mondiale, le commandant des troupes allemandes situées à Bavay le fit déplacer pour cause de manque de place pour ses troupes et les véhicules militaires.
Le maire de l’époque Gaston Derome, n'ayant d'autre choix le fit démonter et remonter dans le parc municipal Gaudonnet.
Le kiosque actuel a été construit au même endroit en 1958 par l’architecte Etienne Salomon en remplacement du kiosque démontable.
On accède au parc en passant sous un porche situé sur la place.
Le kiosque à danser de Beaufort date de la fin du 19e siècle. Il fut démonté vers 1960 lors du réaménagement de la place et prêté pendant une quarantaine d’années à la ville de Maubeuge qui l’installa dans le zoo. Lorsqu'il fut remisé suite aux transformations du parc zoologique, la commune le récupéra pour l'installer à sa place d’origine.
N50.214770 E3.964065
Les consoles en fonte sont identiques à celles des kiosques de Wattignies la Victoire, Petit Fayt et de Grand-Fayt, ce qui suppose un même constructeur, la fonderie Paradis à Hautmont qui a également réalisé celui de Monceau Saint Waast.
Le premier kiosque à Bellignies a été érigé en 1870 après un accord, entre le Baron de Molenbaix, Maire du village, et la municipalité, accord qui devait par la suite donner lieu à une vive contestation et à un procès. Selon la tradition locale, le baron, royaliste, se serait opposé au chant de
"La Marseillaise" dans le kiosque. Ce premier kiosque de Bellignies, connu par les cartes postales anciennes, s’inscrit dans la typologie classique des petits kiosques ruraux et fut l’un des tout premiers kiosques à avoir été construit dans l’arrondissement d’Avesnes.
Il fut implanté sur la place du village. Le plan central fut privilégié avec l’adoption de l’octogone, survivance des kiosques orientaux, avec une place importante consacrée à l’ouverture et à la légèreté structurelle pour ne pas gêner la vue des spectateurs.
Ce kiosque n’était pas implanté sur un soubassement mais sur pilotis, sa structure était donc celle des premiers kiosques en bois démontables. La plateforme sur laquelle se produisait l’harmonie était constituée d’un plancher posé sur un socle en bois dont le pourtour suivait le plan tracé par le positionnement d’une colonnade en bois.
Huit hampes ou piles carrées amorties à leur sommet par une pomme de pin soutenait le toit protégeant des intempéries en même temps qu’il servait de pavillon acoustique. Le toit du kiosque de Bellignies était de forme courante, formé d’un cône à huit pans dont la base était soulignée par des festons de bois. La couverture était en tôle galvanisée et cannelée. Un garde-corps en bois à croisillons unissait les colonnes.
Avant la première guerre mondiale, un kiosque en dur fut substitué au kiosque démontable. Il reprenait exactement le même plan octogonal et fut implanté sur un soubassement en briques surélevant la plateforme des musiciens d’un mètre environ. Les panneaux moulurés qui couvraient la base de l’ancien kiosque ne furent pas repris ; le soubassement de briques resta donc apparent. Pour la couverture, le zinc fut préféré aux ardoises, aux tuiles ou à la tôle galvanisée en raison de sa résonnance acoustique. Enfin, d’après les cartes postales d’avant 1914, les supports du kiosque semblaient assez frustres et formaient une double colonnade (les piles étaient jumelées, la plus extérieure s’étendait du toit au sol en avant du soubassement, tandis que la colonne intérieure prenait appui sur le soubassement en briques). Les garde-corps sont simplement formés par une lice.
En février 1928, le kiosque à musique présentait un état sanitaire désastreux : la base des piles carrées avait été ôtées, certainement pourries à la base car elles n’étaient plus protégées. De ce fait, les piles supportant la toiture fléchissaient et durent être consolidées par un étayage sommaire composé de deux fins troncs d’arbres contreventant la base de la toiture en deux points. Le kiosque menaçant ruine, le maire alerta son conseil municipal et préconisa sa reconstruction (la délibération du Conseil Municipal du 9 février 1928 employait le terme de "consolidation").
C’est l’entrepreneur L. Sarton de Bavay qui fut retenu. Sarton était entrepreneur-concessionnaire des bétons Hennebique. Un marché de gré à gré fut passé entre la commune et L. Sarton. Le kiosque ne fut pas simplement consolidé mais promis à la démolition. Le manque d’archives ne permet pas de savoir si le soubassement en briques fut conservé ou renouvelé.
En 1928, le kiosque fut donc reconstruit à l’identique mais avec une structure porteuse de piles de section carrée en béton armé supportant la toiture conique en zinc de forme similaire au premier kiosque et reposant sur huit arêtiers rayonnants. La planche de rive était décorée de festons. Les huit piles de la structure étaient jointes par un garde-corps simple formé de deux poutres en béton de section carrée posées sur la pointe. Le soubassement était scandé par huit pilastres à la partie sommitale en encorbellement sur lesquels reposaient les piles. Ce soubassement était recouvert de panneaux de ciment mouluré apportant une esthétique Art Déco à ce dernier. Un escalier à volée droite de six marches permettait l’accès à l’estrade.
La grande innovation pour cette reconstruction fut l’utilisation du béton armé, qui s’était généralisé pour la construction des kiosques pendant l’Entre-deux-guerres. Cette intervention a modernisé le kiosque tout en suivant une tendance de l’époque qui poussait à plus de sobriété. Ce kiosque présente des particularités architecturales communes avec le kiosque de Gussignies de conception cependant moins soignée.
Lors des travaux d’aménagement de la place, entrepris au début des années 2010, le kiosque fut également rénové, ce qui lui donne une nouvelle jeunesse. Aujourd’hui, il trône toujours fièrement au centre de la place toute neuve du village.
L'inauguration eu lieu le samedi 28 septembre 2013. Ainsi, grâce au label de la Fondation du Patrimoine, la commune de Bellignies, célèbre pour son musée du marbre, a pu bénéficier d'une subvention de 39 955 € (soit 70% du montant des travaux) de la part du Conseil Régional, dans le cadre de notre partenariat mis en place, il y a 10 ans, au profit de la restauration du patrimoine rural.
Jusqu'en 1885, un kiosque à musique démontable est mis à la disposition des musiciens. C'est à la suite d'une initiative privée qu'une souscription publique est lancée, pour la construction d'un kiosque à musique sur la Place Verte.
Le 24 juillet 1892, le Journal de Fourmies annonce que les souscriptions
atteignent déjà 900 francs et que les travaux d'installation du soubassement
sont commencés depuis le samedi 23 juillet sous la direction du nouvel
architecte-voyer, M. Désiré Lermigeaux, par ailleurs président de la Commission
municipale des Fêtes. ...
...La veille de l'inauguration du kiosque, programmée pour le
31 juillet 1892, on constate que le gros oeuvre reste à parachever et un appel
est fait aux généreux donateurs qui ne voudraient pas d'une construction
incomplète et dépourvue de grâce. Le Comité de musique, de son côté, a fait
l'emplette d'une centaine de chaises, promettant d'autres acquisitions dès que
ses finances le permettront. Ce faisant, un droit provisoire de 30 centimes sur
les chaises sera perçu auprès des auditeurs.
Le kiosque à musique, octogonal en bois, est inauguré le dimanche 31 juillet 1892, jour prévu pour le raccroc de la Ducasse (les raccrocs servaient à prolonger, pour la semaine suivante, les ducasses et autres fêtes, pour le cas où le mauvais temps aurait gâté lesdites fêtes aux jours programmés).
Grand seigneur, lors de sa séance du 30 juin 1893, soit un an plus tard, le Conseil municipal vote un crédit de 87 francs 90 en participation au paiement du soubassement du kiosque des Promenades publiques ! Source texte :
www.cparama.com
Le conseil municipal autorise Monsieur le Maire à passer un marché de gré à gré avec Monsieur Mainguet François, industriel à Leval, pour la construction d'un kiosque en béton armé pouvant contenir 150 musiciens et éventuellement servir de préau aux enfants des écoles en cas de mauvais temps. (Extrait du registre des délibérations du Conseil Municipal, séance du 14/06/1928).
Le kiosque à danser de Lez-Fontaine est remarquable, c'est le plus insolite et le plus coquet de l'arrondissement. De forme octogonale, sur un soubassement en briques, il possède une structure porteuse en fonte, couverte de zinc. Les différents éléments forment des motifs élaborés, évoquant les miniatures persanes. Ce kiosque était à l'origine un pavillon de jardin d'une riche propriété de Sains-du-Nord.
Il fut monté au village en 1952. N50.174592 E4.060891
![]() |
![]() |
Construit en 1874, le kiosque de Maubeuge est un kiosque à concert, qui permettait aux Maubeugeois d’écouter de la musique sur la place publique et de se rencontrer lors du concert dominical. A partir de 1870, on constate une évolution des matériaux utilisés pour leur construction : le fer succède au bois. Le kiosque maubeugeois s’inclue dans cette transition. De forme décagonale, il repose sur un soubassement en maçonnerie de briques. les poteaux sont réalisés en fonte, le garde-corps et les linteaux en fer forgé. Le toit pentu est quant à lui recouvert de zinc. Le plafond en bois procure une excellente acoustique. Ce kiosque peut accueillir 65 musiciens. Au XIXème siècle, Maubeuge était en effet réputée pour le dynamisme de ses festivités et la fréquence de ses prestations musicales. Les sociétés de musique locales et la garnison militaire donnaient alors un concert par semaine, et son kiosque était au centre des manifestations. La qualité des concerts attirait un large public sous les marronniers, en face des bâtiments du Chapitre de Sainte-Aldegonde.
Source texte : maubeuge-tourisme.fr
Installé à Vieux-Mesnil depuis 1845, M. Paradis, maréchal ferrant et fabricant de matériel aratoire s'installe en 1866 à Hautmont, sur la grand place. Une usine nouvelle est érigée en 1878. Elle se compose d'une fonderie, d'une usine de machines agricoles et d'articles ménagers ainsi que de vastes magasins. Créant en 1872 les premières faucheuses et moissonneuses et en 1880 une moissonneuse-lieuse, l'entreprise Paradis s'est illustrée par l'innovation et la qualité de ses produits mais disparaît entre les deux guerres. Les bâtiments sont détruits à une date inconnue. L'usine Paradis occupe en 1878 une superficie de 60a et compte une centaine d'ouvriers. Source texte: Actuacity.com
Construit en 1833, le kiosque à danser de la commune d’Ohain a été démonté en 1967. De forme rectangulaire, posé sur un châssis métallique, il était haut de 2,20 m avec une longueur de 6 m. La piste de danse en demi-lune, agrémentée par des lanternes en bec de gaz, servait pour les rendez-vous patriotiques ou festifs… comme le bal du 14 Juillet.
Reproduit à l'identique, ce joyau du patrimoine local a retrouvé son emplacement d'origine sur la place du village face à mairie 51 ans plus tard, en décembre 2018.
Dix-huit tonnes de béton ont été nécessaires pour réaliser la dalle. L'œuvre a été réalisée, en acier et en fonte, par la fonderie Vincent, installée à Brignais dans le département du Rhône. Il pèse 4,5 tonnes et a été acheminé par convoi exceptionnel.
Reconstruire le kiosque à l’identique était un projet qui avait vu le jour au sein du conseil municipal deux ans plus tôt. Son financement, a été assuré par la commune, avec une aide de l’État à hauteur de 30 % pour un coût total de 100 000 €. Le nouvel équipement, qui va certainement rappeler beaucoup de souvenirs aux aînés (concerts d’harmonies, bals populaires…), sera inauguré en avril 2019, le jour de la fête des Kiosques. D’autres manifestations suivront pour faire revivre ce joyau du patrimoine local.
Démonté dans les années 1960, le kiosque de 2,4 tonnes en fonte commandé par le conseil municipal en 1888 a été reconstruit à l’identique par Henri Beuscart, ferronnier d’art à Bergues sur Sambre. Ce nouveau kiosque a été offert à la commune par le syndicat d’initiatives, et ce sont des lotos et différentes manifestations qui ont permis de le financer à hauteur d'environ 20 000 €.
D’anciennes photographies ont permis sa réalisation tout en restant au plus près du modèle original.
La dalle de béton a été coulée en janvier 2021, et le kiosque monté début mai.
Réalisée en acier, la pièce pèse 1,5 tonne, son diamètre est de 3 mètres et sa plateforme se situe à 2 mètres.
Le kiosque a été inauguré le 14 juillet 2021.
Le kiosque en bois du jardin de la mairie de Saint Rémy Chaussée a été installé lors des travaux d'aménagement des abords du bâtiment vers 2007. Il y avait un autre kiosque sur la place de l'école (rue de Saint Aubin)
qui a dû être démonté lors de la construction d'une classe supplémentaire en préfabriqué. Seule la façade a été récupérée, l'objectif étant à moyen terme et après démolition du préfabriqué, de réimplanter ce kiosque.
(Informations fournies par la mairie) N50.170372 E3.870736